Parcours
La vocation artistique de Béatrice Richard de Saint Jean
est précoce. Elle organise sa première exposition à l’âge de douze ans à
l’hôpital de Grenoble.
En 1981, elle entre à l’école des Beaux Arts de Nîmes. Elle a pour professeur les fondateurs du mouvement artistique Support-Surface : Claude Viallat, Vincent Bioules et Patrick Seytour.
Ses pas la mènent ensuite en Guadeloupe, à Saint-Claude. Elle y installe son atelier et se consacre à l’éveil artistique des enfants. Ses toiles sont alors remplies de soleil et de couleurs. Elles reflètent l’exubérance de la végétation et les charmes des propriétés de l’île.
Puis, Béatrice rentre en métropole et retrouve ses racines en Provence, à Avignon. C’est alors que son propre style commence à éclore. Les sujets de ses toiles sont variés. Mais, un thème lui est cher, celui de la Vierge et de l’enfant.
Cinq années plus tard en rejoignant Nice, Béatrice affectionne les sujets religieux au point d’en faire son thème de prédilection. Les anges sont devenus des compagnons de route et leur éclat illumine ses toiles dans un ciel toujours plus bleu.
En Afrique où elle passe une année, Béatrice de Saint-Jean poursuit sa quête avec comme sujet de ses tableaux des mères à l’enfant de tous les pays du monde : Asie, Europe, Amérique du sud et bien entendu l’Afrique.
De retour en France, elle s’installe à Neuilly et entreprend une nouvelle étape dans sa recherche avec le passage à un art plus abstrait. Ses toiles sont peintes à deux mains simultanément. Elles représentent en effet des vibrations.
En Albanie de 2009 à 2013, Béatrice Richard de Saint Jean poursuit ses travaux dans le domaine de l’art abstrait. Simultanément, elle explore à nouveau l’art figuratif en prenant comme thème la femme française des années vingt, également appelées les années folles.
En Côte d’Ivoire depuis 2014, Béatrice explore de nouveaux horizons artistiques en utilisant pour la première fois la technique de la peinture au couteau et en diversifiant ses sujets comme par exemple les Marines ou les Nus.
En 1981, elle entre à l’école des Beaux Arts de Nîmes. Elle a pour professeur les fondateurs du mouvement artistique Support-Surface : Claude Viallat, Vincent Bioules et Patrick Seytour.
Ses pas la mènent ensuite en Guadeloupe, à Saint-Claude. Elle y installe son atelier et se consacre à l’éveil artistique des enfants. Ses toiles sont alors remplies de soleil et de couleurs. Elles reflètent l’exubérance de la végétation et les charmes des propriétés de l’île.
Puis, Béatrice rentre en métropole et retrouve ses racines en Provence, à Avignon. C’est alors que son propre style commence à éclore. Les sujets de ses toiles sont variés. Mais, un thème lui est cher, celui de la Vierge et de l’enfant.
Cinq années plus tard en rejoignant Nice, Béatrice affectionne les sujets religieux au point d’en faire son thème de prédilection. Les anges sont devenus des compagnons de route et leur éclat illumine ses toiles dans un ciel toujours plus bleu.
En Afrique où elle passe une année, Béatrice de Saint-Jean poursuit sa quête avec comme sujet de ses tableaux des mères à l’enfant de tous les pays du monde : Asie, Europe, Amérique du sud et bien entendu l’Afrique.
De retour en France, elle s’installe à Neuilly et entreprend une nouvelle étape dans sa recherche avec le passage à un art plus abstrait. Ses toiles sont peintes à deux mains simultanément. Elles représentent en effet des vibrations.
En Albanie de 2009 à 2013, Béatrice Richard de Saint Jean poursuit ses travaux dans le domaine de l’art abstrait. Simultanément, elle explore à nouveau l’art figuratif en prenant comme thème la femme française des années vingt, également appelées les années folles.
En Côte d’Ivoire depuis 2014, Béatrice explore de nouveaux horizons artistiques en utilisant pour la première fois la technique de la peinture au couteau et en diversifiant ses sujets comme par exemple les Marines ou les Nus.
